Nouvel adhérent

F5KBG vous présente Benjamin .

Ben vient de rejoindre le groupe de stagiaires pour la formation aux cours RA. Il nous a rejoint au sein du Club courant 2020 et fait donc partie du groupe 2021.

Une passion pour l’onde Radio depuis tout jeune, la fait frapper à notre porte.

Souhaitons à Ben réussite et courage pour l’obtention de la licence radioamateur .

F5ODK@F5KBG

F5KBG en Deuil

Bonjour aux KBG’istes,

Une triste nouvelle ce matin au sein du Club RCL-EG Montluçon Guéret

Notre Membre et copain SWL Jean-Marc, nous a quitté. Jean-Marc était membre du club depuis 2 ans .

Petit homme de caractère et grand homme d’une passion : les ondes et le SDR nous emportent notre ami Jean-Marc surfer sur l’une d’elles …

Le Club F5KBG est en deuil

Dans le monde Radioamateur Jean-Marc est SK (silence key)

toutes nos condoléances à la famille de Jean-Marc

de la part des membres RCL-EG F5KBG Montluçon-Guèret

Le RCN-EG et les membres du bureau

le bureau et CMCAS du club

F4AVL,F5ODK@F5KBG

webmaster F5ODK

Jean-Marc swl ( 2eme sur la photo) en discussion avec F5XT

F5ODK@F5KBG

F5ODK@F5XT@SWL LUDO RCL-EG F5KBG

Qui sont les radioamateurs dans la région de Montluçon (Allier) ?

Publié le 08/11/2020 à 15h00

Parce qu’ils ne souhaitent pas que cette pratique disparaisse, les radioamateurs montluçonnais organisent des sessions de formation lors de leurs permanences au radio club de Montluçon un dimanche sur deux. © Cécile CHAMPAGNAT

Alors que cette pratique continue de trouver son public, rencontre avec des Bourbonnais passionnés de radioamateurisme.

Imaginez-vous sur l’autoroute, vous êtes en route pour les vacances avec votre famille. Au bout d’un moment, vous faites le choix de vous arrêter sur une aire de repos. Au même instant, une autre famille a fait le même choix. Et, entre les deux, le dialogue s’engage.

Le radioamateurisme, c’est finalement la même chose. Ce sont deux personnes qui, à un moment donné, ont le même objectif et s’arrêtent au même moment, sur la même fréquence afin d’entrer en contact. Cette part de hasard, à la croisée du choix et de la coïncidence, plusieurs radioamateurs du bassin de Montluçon (Allier) en ont fait leur passion. Rencontre avec trois d’entre eux.

Jean-Michel Gigand (52 ans)

« Quand j’avais 8 ans, j’ai reçu une paire de talkies-walkies en cadeau et c’est là où tout a commencé. En jouant avec, j’ai entendu des étrangers ». Jean-Michel Gigand a aujourd’hui 52 ans. Près de quarante cinq années sont donc passées mais sa passion, née de cette anecdote, demeure intacte.

Mon grand-père possédait un poste d’ondes courtes. Enfant, je tournais la molette pour entendre le morse. Mon père m’a très vite parlé de ces radioamateurs qui concevaient eux-mêmes leur matériel. Ça m’a intrigué alors je m’y suis intéressé et c’est comme ça que j’en suis devenu un moi-même.

Dans les années 1980, Jean-Michel Gigand se rend dans l’un des plus grands salons de radioamateurisme de France, à Auxerre. Là-bas, il confirme son intérêt pour la discipline et finit par passer sa licence, en 1987. Depuis, il n’a pas arrêté. « Avec la radioamateur, on ne s’ennuie jamais. Il y a toujours de nouvelles choses à expérimenter. On peut aussi être utile lors de catastrophes naturelles ou de crashs d’avions, car nos ondes n’ont pas forcément besoin d’infrastructures fixes. On peut donc capter les signaux et arriver à localiser un objet, une personne ». Une affaire de famille qu’il partage aujourd’hui avec son fils : « Je le prépare à l’examen pour obtenir la licence, afin qu’il puisse lui aussi émettre son propre signal ».

Dans sa grande maison, Jean-Michel Gigand a aménagé une pièce rien que pour sa passion.

Robert Camus (78 ans)

Aujourd’hui âgé de 78 ans, Robert Camus est l’un des plus anciens radioamateurs de la région montluçonnaise. « Maintenant, avec le numérique, je nage un peu. Mais j’essaye de me tenir à jour », confie celui qui a commencé à s’intéresser à la radio « tout gamin ». « Mon père était radioélectricien. C’est entre 10 et 14 ans que j’ai écouté mes premières bandes de fréquences ». Puis Robert a passé la licence. 

« À l’époque, on devait savoir télégraphier, monter un récepteur et un émetteur devant l’inspecteur. Il venait voir si on savait manipuler et faire nos réglages sans brouiller les autres. »

La technique, c’est ce qu’a toujours aimé le septuagénaire, retraité de la Sagem (ex-Safran). Il était à la production de matériel électronique. « Les petits montages, les modes de transmission, le décode de trames, voir les filaments qui rougissent… Moi, j’aime ça ». Il se passionnait tellement pour la technique, qu’en plus de son travail à l’usine il réparait des radios et des postes de télévision : « Je passais aussi mes week-ends sur l’électronique, j’étais bien occupé ». D’ailleurs au fil des années, il a accumulé de nombreux appareils. Aujourd’hui, au fur et à mesure, il les transmet. « Je préfère ça plutôt qu’il soient jetés lorsque je disparaîtrai… »

Au-delà du côté technique, ce qu’apprécie Robert Camus c’est le côté fraternel entre les radioamateurs : « Quand on n’arrive pas à faire quelque chose, on s’entraide. Quelqu’un a besoin d’une pièce, on le dépanne. À une autre époque, l’indicatif – c’est-à-dire le code d’identification sur les ondes – d’un radioamateur n’était jamais redonné à un autre après son décès ».

Ludovic Amary (45 ans)

Si Jean-Michel et Robert naviguent dans l’univers du radioamateurisme depuis des décennies, d’autres y arrivent petit à petit. C’est le cas de Ludovic Amary, 45 ans : « C’est une passion qui remonte à très loin. Adolescent, j’ai vu ça chez un copain, il avait une antenne tenue par un bout de ferraille et il arrivait à converser avec des gens », relate-t-il. « Le portable n’existait pas, c’était unique. »

Après des années sans prendre le temps de pratiquer, Ludovic est revenu vers la radioamateur. Depuis un an, il se forme et espère passer sa licence l’été prochain.

Ce qui me fascine avant tout c’est de pouvoir converser avec n’importe qui, n’importe où sur le globe et même au-delà. Que ce soit avec les îles Chatham en Nouvelle-Zélande ou avec la station spatiale internationale, sur autorisation. Le goût de l’inconnu me plaît beaucoup.

Équipé, mais sans licence, le quadragénaire ne peut qu’écouter ses comparses : « J’en fais pas mal pour m’initier aux us et coutumes afin d’être prêt quand je pourrai émettre à mon tour », affirme-t-il. « Je fais figure d’exception dans le milieu au vu de mon jeune âge. Mais mon envie c’est de faire perdurer cet acquis, ce savoir et cette découverte ».

Radio Club de Montluçon. Ouvert un dimanche tous les quinze jours, de 10 heures à midi, au CMCAS : 6, impasse du vélodrome à Montluçon. Site internet : https://ref03blog.wordpress.com

Texte : Brian Le Goff
Photos : Cécile Champagnat

F5KBG En Confinement

Bonjour Aux KBG’istes ,

Suite aux directives le club repasse en confinement .Nous restons en liaison sur les ondes sur le relais urbain de Montluçon, ainsi que sur les la fréquences locale Technique 144.750 Mhz

Pour les cours F5KGB : RDV sur le serveur Cisco, le lien sera envoyé lors de la connexion pour les stagiaires .

Aux plaisirs de vous retrouver en bonne Santé

L’équipe F5KBG

F4AVL,F5ODK@F5KBG